Des représentants de l’UPEA ont rencontre le député Frédéric Petit à l’occasion de sa venue au lycée. Étaient présents pour l’UPEA Marc de la Fouchardière, Sabrina Ubrich et Pascale Bech.
Il faut rappeler que Frédéric Petit est à la fois le député de la circonscription dans laquelle se trouve l’Allemagne et, à l’Assemblée nationale, le rapporteur du programme de l’État 185, le morceau de budget correspondant à l’action culturelle et d’influence du ministère des Affaires étrangères, c’est-à-dire de notre agence de tutelle AEFE.
La rencontre a duré 1 heure dans une excellente ambiance. Nous avons abordé les questions de l’influence de nos structures scolaires dans le dispositif de l’État à l’étranger, des différentes modalités de cette présence et notamment des aspects liés aux statuts. Nous sommes un statut, l’établissement en gestion directe (EGD) le plus intégré dans l’État. Les autres statuts étant des partenariats dits d’homologation ou de certification/labellisation.
Sur cette question, Frédéric Petit a rappelé son attachement au modèle EGD mais l’UPEA ressent que le modèle n’est plus le modèle phare de l’agence. C’est le modèle le plus lourd en termes de gestion et de financement. L’homologation est plus flexible et probablement mieux adaptée à la politique officiellement annoncée de doublement des effectifs du réseau. Mais ce sont les établissements en gestion directe qui font et qui sont l’image que l’État français va vouloir ‘vendre’ aux futurs établissements partenaires. Pour que cette franchise conserve sa valeur, l’État sera obligé de l’entretenir et de mettre les moyens pour qu’elle reste attirante.
Photo: frederic-petit.eu